01563nlm0 22002051i 450 001001200000006001900012007001500031008004100046020001800087040000800105100001500113245003300128260001200161260001800173300001000191520088700201856009301088856009601181856008001277HARMA 79054m g0 d cr mn ---auama250115c go d fre  a9782385418748 bfre0 aJudith Mar aFaites entrer l’abusée aParis : bLes Impliqués a86 p. aQuand l’accusée a été abusée sexuellement, que l’abusée est accusée d’affabuler...<br> Après avoir échoué à parler, il faut écrire. Écrire pour se réapproprier son histoire et sa langue, écrire pour ne pas oublier, écrire pour dénoncer, bien sûr, pour crier haut et fort ces infamies. Écrire pour ne pas vomir, ou vomir en écrivant. Et dire enfin « je » pour ne plus être déniée.<br> Chercher un moyen de dire l’ineffable en grattant sur le papier. Explorer les possibilités qu’offre le langage, en prenant même celles qu’il n’offre pas. Se jouer des formes comme l’on s’est joué de cette enfant. Faire du vomi une poésie, de l’abus un récit, du non-dit un roman… Hurler et choquer, dégoûter et gêner, pour que cela ne se reproduise plus. Jamais.<br> En faire toute une histoire ? Et pourquoi pas ?40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782385418748r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/97823854187482Télécharger le livre au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/97823854187482Lire ce livre en ligne