01998nlm0 22002531i 450 001001200000010001600012100003900028101000600067102000600073105001600079135001600095200004300111210004100154215000900195230002300204301001600227305005900243330103500302336007501337700001201412856009301424856011701517856011001634HARMA 80035a9782336454337a20250112d2024 u y0frea0103 baafreafrea z 001z adrun nnnauauaaIleb[Ressource électronique]fJ.PaglinoaPariscEditions L'Harmattand2024a162 p.a[Données textuelles]a9782336454320aVersion électronique de l'édition papier : 9782336454320a« Paupières grand ouvertes<br>l’iris fouetté le blanc fou<br>les veines rafraîchies<br>les sangs chauds comme en août<br>les ponts la mer le vent la houle<br>les nuages qui courent le soleil qui roule<br>poissons en bancs en solitaire en troupeaux<br>tu te couvres d’écailles blanches tu tombes du bateau<br>nous quittons le ponton<br>chute<br>chute<br>chut<br>l’ile<br>ça y est<br>allons pêcher ».<br><br>Petit herbier d’une île sous quatre saisons et deux visages, une île où les fruits sont acides et la lune est froide, une île de fleurs voraces et de grandes vagues de brume et de sel. Ondulation. La morsure du ciel laisse sur la peau des pétales mauves. Tout en haut on a suspendu des oiseaux virtuoses. Le soleil se cache à demi-mot. Dans la pupille un éclat d’absolu. Sur la lèvre un goût d’inachevé. Sous la langue s’écorche un mot anguleux, granuleux, échoué : ambiguïté.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaJ.Paglino40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336454320r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/9782336454320zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/9782336454320zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne