03007nlm0 22002651i 450 001001300000010001600013100003900029101000600068102000600074105001600080135001600096200018200112210004100294215000900335230002300344301001600367305005900383330173900442336007502181700004802256856009302304856011702397856011702514856011002631HARMA 210522a9782336493671a20250403d2025    u  y0frea0103    baafreafrea    z   001z adrun nnnauauaaLa crise sécuritaire en République centrafricaine (2012-2019) - La vérité sur le mouvement des Anti-balakab[Ressource électronique]fDaniel Nditifeï Boysembe, Michel Gbézéra-BriaaPariscEditions L'Harmattand2025a234 p.a[Données textuelles]a9782336493664aVersion électronique de l'édition papier : 9782336493664aLa crise sécuritaire portée par la Seleka qui a éclaté en décembre 2012 s’inscrit dans la droite ligne des précédentes crises qui ont affecté la République Centrafricaine (RCA), et s’est traduite par l’ingérence sans précédent des pays voisins de la RCA. <br>	Face aux violences inouïes perpétrées contre les populations civiles, on a assisté à des réactions tant sur les plans intérieur qu’extérieur. Sur le plan intérieur, il faut souligner la farouche résistance opposée par les jeunes ruraux de la région de l’Ouham appuyés par des ex-soldats des forces armées centrafricaines (FACA), résistance connue sous le nom des Anti-balaka. Le phénomène a pris de l’ampleur à partir de décembre 2013 avec l’apport de jeunes désœuvrés organisés en groupes autonomes dans la majorité des quartiers de Bangui et ses environs. Ces jeunes ont hélas dénaturé l’action des Anti-balaka originels à cause de nombreux délinquants ayant infiltré leurs rangs.<br>	Sur le plan extérieur, deux réactions ont été enregistrées  : l’opération Sangaris déclenchée le 5 décembre 2013 par le Président Hollande fort du soutien du Conseil de Sécurité des Nations Unies, et la fin de la Transition dirigée par Djotodjia décidée à l’issue du Sommet de la CEEAC le 10 janvier 2014 à Ndjaména. <br>	Une nouvelle période de la Transition a succédé à celle pilotée par Djotodjia. Elle a pris fin avec l’élection contestée de Touadera à la Présidence de la République le 14 février 2016. Malgré les promesses réitérées des dirigeants issus des nouvelles Institutions, le peuple centrafricain est toujours dans l’attente du retour définitif de la sécurité et de la paix.aType de ressource électronique : données textuelles et iconographiquesaDaniel Nditifeï Boysembe, Michel Gbézéra-Bria40uhttps://www.editions-harmattan.fr/catalogue/couv/9782336493664r.jpg2Image de couverture40uhttps://www.harmatheque.com/downloadebook/9782336493664zAccès après authentification2Télécharger au format PDF40uhttps://www.harmatheque.com/downloadepub/9782336493664zAccès après authentification2Télécharger au format epub40uhttps://www.harmatheque.com/readebook/9782336493664zAccès après authentification2Lire ce livre en ligne